Le coup du parapluie
14 février 2023Lancement du premier Pershing GTX116
25 février 2023Conçu et validé en collaboration avec les sauveteurs en mer Français
extrait de la revue Bateaux
Ce gilet de sauvetage a été développé et validé en collaboration avec les sauveteurs en mer Français.
En collaboration depuis 2020, Tribord et la SNSM travaillent sur l’ensemble des phases de développement, depuis le cahier des charges de départ jusqu’à l’élaboration des prototypes et leur validation en mer.
Ce gilet a été validé en laboratoire, en navigation, et en situation de sauvetage de jour et de nuit.
Un gilet de sauvetage aux normes
La norme qui encadre les gilets de sauvetage demande que le naufragé se retourne, même s’il est inanimé et tombe la tête la première dans l’eau. Mais cette norme est définie avec un naufragé habillé d’un seul maillot de bain. Or on sait qu’une fois vêtus d’un ciré complet et de bottes, des poches d’air se forment et contrarient ce retournement. Tribord et la SNSM ont donc décidé de fabriquer un gilet qui fonctionnera aussi si le marin est entièrement équipé.
La norme impose aussi un gilet avec une flottabilité de 150 Newtons. Or les témoignages montrent que si la personne est largement équipée, il faut lui offrir plus de flottabilité. Tribord a donc opté pour une flottabilité de 180 Newtons afin de répondre à toutes les situations et toutes les corpulences.
Pour que le retournement soit assuré, le gilet Tribord possède une vessie dissymétrique. Ainsi, la flottabilité est instable quand on est sur le ventre, et l’on vient naturellement se retourner face au ciel.
Le gilet vous retourne après s’être gonflé. Suivant que les bottes soient ou non remplies d’eau, on se retourne en tournant sur le côté ou bien en pivotant par les pieds qui coulent.
Article complet sur LJ180N, on a testé le nouveau gilet de sauvetage de Tribord (bateaux.com)